* Le grand retour du “ROYAL-VOYOU” avec l’historien Benjamin MASSIEU

par 1DFL
24 vues

* Le grand retour du

      Déjà connu pour l’ouvrage qu’il avait fait paraître sur Philippe KIEFFER,  Commandant du 1er BFMC, Benjamin MASSIEU se lance aujourd’hui dans une entreprise sans précédent  :

Ecrire l’histoire du 1er Régiment de Fusiliers Marins dont le glorieux parcours se confond avec celui  de la 1ère Divison Française Libre et à laquelle il fut rattaché durant toute la guerre. 

Ce sont donc tout à la fois les descendants et amis des Forces Navales Françaises Libres et ceux de la DFL qui sont heureux aujourd’hui de cette mise en lumière prochaine de nos Fusiliers Marins !

Mais ils sont avant tout invités à participer à l’enquête et aux recherches de témoignages…

C’est pour eux que Benjamin Massieu vient d’ouvrir sur Face Book un espace dédié aux échanges en vue de cette future publication.

LIEN

* Le grand retour du

ROYAL-VOYOU ?

Ecoutez plutôt l’un des leurs, le compagnon Jacques BAUCHE !

* Le grand retour du

Alors  bon vent à Benjamin Massieu, au “Royal-Voyou” et à son équipage de près de 1 500  Fusiliers Marins !

Et Honneur à son fondateur et premier commandant,  Robert DETROYAT

* Le grand retour du

Crédit : Aux marins

Robert DETROYAT (Ordre de la Libération)

Le 13 juillet 1940, répondant à l’appel du général de Gaulle, il signe son engagement dans les Forces navales françaises libres. L’amiral Muselier lui confie alors le soin de former une unité de Fusiliers marins.

Le 31 août 1940, le 1er Bataillon de Fusiliers marins (1er BFM), sous le commandement de Robert Détroyat qui vient d’être promu capitaine de corvette, s’embarque à bord du Westernland à destination de Dakar.

Après l’échec de Dakar, le 1er BFM participe en octobre aux opérations du Gabon. De novembre 1940 à février 1941, Robert Détroyat est essentiellement occupé à des tâches d’intendance et d’administration.

Le 19 février 1941, le 1er BFM s’embarque pour Freetown d’où il rejoint Durban ; le 31 mars, il quitte cette ville pour reprendre sa progression vers le Nord.

En mai, il se trouve vers le canal de Suez et en juin, il est envoyé en Syrie. Le 21 juin, le commandant Détroyat avance vers Damas à la tête de ses hommes. Il s’arrête à Mezze et, alors qu’accompagné de deux hommes il part rejoindre à quelques centaines de mètres son adjoint Jean des Moutis, il tombe face à un détachement de troupes vichystes. Il leur propose de les amener au PC du bataillon. Au bout de quelques pas, une rafale de mitraillette atteint Robert Détroyat qui s’écroule, mortellement touché.

Après la guerre, il sera inhumé à Saint-Pierre d’Irube près de Bayonne. 

• Chevalier de la Légion d’Honneur 
• Compagnon de la Libération – décret du 16 août 1944 
• Croix de Guerre 39/45 (4 citations) 
• Croix de Guerre (Pays-Bas)
• Médaille de la Résistance avec rosette

Vous devriez apprécier

Laisser un commentaire